Le lin possède également un potentiel de rétention de dioxyde de carbone plutôt impressionnant (3,7 tonnes par hectare!)2, ce qui réduit grandement les émissions de gaz à effet de serre.
Agriculteurs, teilleurs, filateurs, tisseurs, tricoteurs, artisans à l’ennoblissement textile, négociants : la culture et la transformation du lin nécessitent une main-d’œuvre qualifiée importante, le plus souvent locale, ce qui permet d’assurer la prospérité économique de nombreuses zones rurales.
Pour citer un rapport effectué par la Commission européenne en mai 2008, « la culture du lin a des effets positifs sur la diversité des écosystèmes et offre une pause environnementale salutaire pour la qualité des sols, de la biodiversité et des paysages ».